jeudi 30 avril 2020

Osmosis - Série TV 2019 - AlloCinéMaman à tort - Replay et vidéos en streaming - France tvBraquo - Série (2009) - SensCritique 
Y a plus de film, mais il y a des séries (24)
Des françaises (3)
Omosis ----------- Maman a tort ------------ Braquo
> Omosis (Fr) d'Agathe Fouché 1 saison, 8 épisodes 2019 Netflix
Dans un futur proche, on peut trouver un véritable amour en déchiffrant des codes. Grâce aux données des utilisateurs implantées dans les cerveaux, OMOSIS garantit le ou la partenaire idéal (e). Le rêve est devenu réalité. Mais, parce qu'il y un mais, ce système est-il vraiment la panacée ? avec Agathe Bonitzer , encore mon petit Hugo Becker ( toujours aussi craquant), Gaêl Kamilindi ... Pas tout à fait réussie mais se laisse voir parce que sujet à débats, et bien interprétée.
> Maman a tort de Véronique Lacharpy (Fr) 1 saison, 6 épisodes 2018
Malone est un petit garçon de trois ans . Il dit que sa maman n'est pas sa maman. Il a peur de la pluie, des éclats de verre. Un psy intrigué par son comportement, ses dessins étranges interpelle la directrice de l'école et contacte la police qui réagit mollement. Avec Anne Charrier, Tom D'Ornano, Pascal Elbé, Sophie Quinton...tiré du roman de Michel Bussi. Classique mais bien mené et sensible. la ville du Havre est encore un décors parfait ( après le film de Belvaux) pour ce genre d'histoire bizarre. un bon moment.
> Braquo d'Olivier Marchal (Fr) 4 saisons, 32 épisodes 2009 > 2016
4 policiers du SDPJ des hauts-de-Seine, Caplan, Morlighem, Wachevski et Delgado voient leur vie bousculée quand leur supérieur se suicide après une affaire dans laquelle il était mis en cause;Ils franchissent les règles pour laver l'honneur de celui-ci. Mais ils sont surveiller par l'IGS. c'est la guerre entre les deux. Piège, conseil de discipline, radiation, prison. seconde chance pour infiltration pour se racheter chez les "invisibles" un gang de truands. Bref plein de rebondissements, d'adrénaline, très agréable à regarder avec Jean-Hugues Anglade , fiévreux, Karole Rocher, Nicolas Duvauchelle ....

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