Le teckel de Todd Solondz (U.S) °° 1h28
On comprend ce qu'a voulu faire Todd Solondz, faire le portrait d'américains moyens des maîtres successifs du chien. Mais sa vision est tellement sombre, désespérée que les pointes d'humour qu'il y distille n'équilibrent pas la noirceur des propos. On s'use au fur et à mesure plutôt qu'on ne s'émeut. Finalement c'est extrêmement déprimant. Bien sûr il y a quelques perles: Julie Delpy en mère immonde, Danny de Vito en prof dépassé ( j'ai eu l'impression d'avoir déjà vu cette scène) et Ellen Burstyn dans un nouveau requiem . Pas totalement convaincu.
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