Morel refait le chanteur pour notre plus grand plaisir. Pour qui a vu le magnifique "Le soir, des lions", on retrouve ici tout ce qu'on aime : les chansons qu'il compose souvent lui même , chargées d'émotion et de drôlerie et ces intermèdes impayables qui me font mourir de rire. Il y a de la nostalgie, de la loufoquerie, de la fantaisie et surtout une énorme envie de lier son public dans une même humanité. Quel bonheur de se retrouver un peu, dans ce monde de music-hall, proche du "chanteur" pour partager son amour de Brel, de Trenet, de s'amuser des imitations d'Aznavour, de Brassens et autres. De savourer sa poésie...
vendredi 28 octobre 2016
La vie (titre provisoire)
Morel refait le chanteur pour notre plus grand plaisir. Pour qui a vu le magnifique "Le soir, des lions", on retrouve ici tout ce qu'on aime : les chansons qu'il compose souvent lui même , chargées d'émotion et de drôlerie et ces intermèdes impayables qui me font mourir de rire. Il y a de la nostalgie, de la loufoquerie, de la fantaisie et surtout une énorme envie de lier son public dans une même humanité. Quel bonheur de se retrouver un peu, dans ce monde de music-hall, proche du "chanteur" pour partager son amour de Brel, de Trenet, de s'amuser des imitations d'Aznavour, de Brassens et autres. De savourer sa poésie...
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