Fuocoammare de Gianfranco Rosi (I) ° 1h49
Comment dire du mal d'un film qui parle d'un sujet aussi grave , aussi essentiel ? Impossible. ce film Ours d'or à Berlin est d'un ennui qu'on n'ose dire mortel. Le réalisateur a pris le parti de ne pas faire parler les acteurs de ces drames, de ne pas s'intéresser à leur parcours, à leurs vies. Du coup on n'apprend rien, on reste hors de leur douleur même si certaines images nous bouleversent avec des situations à vomir. Mais cela c'est 20 mn du film le reste sont des scènes du quotidien des gens de Lampedusa qui semblent ne pas être concernés par le drame qui se joue à leur porte. On s'éternise sur des scènes insignifiantes: un enfant mange bruyamment des spaghettis pendant une plombe, chasse au lance-pierres des oiseaux, une femme prend un temps infini pour faire son lit ou un animateur de radio qui fredonne des rengaines. Oui et alors: qu'en pensent-ils , comment le vivent-ils ? On ne le saura pas. Bof.
Comment dire du mal d'un film qui parle d'un sujet aussi grave , aussi essentiel ? Impossible. ce film Ours d'or à Berlin est d'un ennui qu'on n'ose dire mortel. Le réalisateur a pris le parti de ne pas faire parler les acteurs de ces drames, de ne pas s'intéresser à leur parcours, à leurs vies. Du coup on n'apprend rien, on reste hors de leur douleur même si certaines images nous bouleversent avec des situations à vomir. Mais cela c'est 20 mn du film le reste sont des scènes du quotidien des gens de Lampedusa qui semblent ne pas être concernés par le drame qui se joue à leur porte. On s'éternise sur des scènes insignifiantes: un enfant mange bruyamment des spaghettis pendant une plombe, chasse au lance-pierres des oiseaux, une femme prend un temps infini pour faire son lit ou un animateur de radio qui fredonne des rengaines. Oui et alors: qu'en pensent-ils , comment le vivent-ils ? On ne le saura pas. Bof.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire