Inherent vice de Paul Thomas Andersen (U.S) ¤
L'ennui, profond qui vous tombe dessus tôt dans le film. Et ce n'est pas parce que l'on y comprend rien ( c'est gênant mais bon) mais parce qu'on s'en fout à un point. Il existe d'autres films film dur à la comprenette ( Le grand sommeil) mais c'était nouveau, bien mis en scène. Ici l'auteur complique tout par plaisir, par sadisme jusqu'au non retour et laisse le spectateur sur le bord du chemin épuisé devant tant de vanité, de suffisance. Je ne parle pas des acteurs sous-employés ni ne Phœnix horripilant avec ses yeux explosés. Au secours!
L'ennui, profond qui vous tombe dessus tôt dans le film. Et ce n'est pas parce que l'on y comprend rien ( c'est gênant mais bon) mais parce qu'on s'en fout à un point. Il existe d'autres films film dur à la comprenette ( Le grand sommeil) mais c'était nouveau, bien mis en scène. Ici l'auteur complique tout par plaisir, par sadisme jusqu'au non retour et laisse le spectateur sur le bord du chemin épuisé devant tant de vanité, de suffisance. Je ne parle pas des acteurs sous-employés ni ne Phœnix horripilant avec ses yeux explosés. Au secours!
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