Surprenant de la part de Mike Leigh de nous proposer un biopic d'un tel classicisme. C'est long, long comme tous les films de Cannes de cette année. Bien sûr Timothy Spall est bon mais il ne présente qu'une facette de son talent, éructant, grognant, avec un vocabulaire réduit au minimum, qui au bout d'un moment fatigue. Le film s'allège quand on est en présence du père Turner (qui hélas meurt assez vite) ou de sa nouvelle compagne, dont on se demande encore ce qu'elle a pu lui trouver. Et ce film ne nous dit pratiquement rien de la vie douloureuse de Turner ( sa mère internée, sa sœur décédée) ni du choix de ces peintures rouges flamboyantes. A vous de voir.
mardi 9 décembre 2014
Mr Turner
Surprenant de la part de Mike Leigh de nous proposer un biopic d'un tel classicisme. C'est long, long comme tous les films de Cannes de cette année. Bien sûr Timothy Spall est bon mais il ne présente qu'une facette de son talent, éructant, grognant, avec un vocabulaire réduit au minimum, qui au bout d'un moment fatigue. Le film s'allège quand on est en présence du père Turner (qui hélas meurt assez vite) ou de sa nouvelle compagne, dont on se demande encore ce qu'elle a pu lui trouver. Et ce film ne nous dit pratiquement rien de la vie douloureuse de Turner ( sa mère internée, sa sœur décédée) ni du choix de ces peintures rouges flamboyantes. A vous de voir.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire