La mère de Florian Zeller ( Hébertot - Marcial di Fonzo Bo)°°
Le pendant féminin du Père avec Robert Hirsch, on est pas loin d'y retrouver le même thème: la maladie. Dans cette pièce où la mise en scène est assez sobre, les décors qui oscillent entre réalité et fiction on y fleurte avec Alzheimer. Il ne se peut, que ce soit, seulement la passion dévorante d'une mère pour son fils. On imagine au fur et à mesure qu'elle avance, un fils mort, une fille qui n'existe pas, un rêve qui se prolonge plein d'autres choses encore. J'y vois le renouvèlement constant de pensées d'une personne qui a perdu la tête et qui se raccroche à des bribes de vie. Catherine Hiegel y est formidable tout en rupture de tons, Jean-Yves Chatelais aussi.
Le pendant féminin du Père avec Robert Hirsch, on est pas loin d'y retrouver le même thème: la maladie. Dans cette pièce où la mise en scène est assez sobre, les décors qui oscillent entre réalité et fiction on y fleurte avec Alzheimer. Il ne se peut, que ce soit, seulement la passion dévorante d'une mère pour son fils. On imagine au fur et à mesure qu'elle avance, un fils mort, une fille qui n'existe pas, un rêve qui se prolonge plein d'autres choses encore. J'y vois le renouvèlement constant de pensées d'une personne qui a perdu la tête et qui se raccroche à des bribes de vie. Catherine Hiegel y est formidable tout en rupture de tons, Jean-Yves Chatelais aussi.
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