Des ravages de la révolution culturelle en Chine. Yimou n'ose pas trop appuyer là où ça fait mal, mais cela ne nuit pas vraiment au film, même si du coup, on a l'impression de voir une toile des années 60. Il y gagne peut-être en force nonchalante dans la dénonciation du système passé mais qui peut à tout moment recommencer. Gong Li joue les amnésiques parfaitement. Le rôle de la fille est assez intéressant parce que coupable d'avoir dénoncer son père: comment vivre avec cette horreur coupable. La scène finale est bouleversante, le reste est d'une facture classique. A voir.
lundi 22 décembre 2014
Coming home
Des ravages de la révolution culturelle en Chine. Yimou n'ose pas trop appuyer là où ça fait mal, mais cela ne nuit pas vraiment au film, même si du coup, on a l'impression de voir une toile des années 60. Il y gagne peut-être en force nonchalante dans la dénonciation du système passé mais qui peut à tout moment recommencer. Gong Li joue les amnésiques parfaitement. Le rôle de la fille est assez intéressant parce que coupable d'avoir dénoncer son père: comment vivre avec cette horreur coupable. La scène finale est bouleversante, le reste est d'une facture classique. A voir.
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