Queer de Luca Guadagnino (I) ¤ 2 h 16
Plus qu'une purge, une souffrance. Dans un Mexique années 60 en carton pâte, un homme ( Daniel Craig qui a bien du mérite de faire ce qu'il fait) tombe amoureux d'une endive, pardon d'un soi-disant Apollon (Drew Starkey insupportable). Une heure à se tourner autour, avalant des litres d'alcool, fumant, se piquant dans une chorégraphie maniérée avant un départ dans la jungle d'Amérique du Sud qui ressemble aux serres du jardin des plantes, à la recherche d'une drogue aux vertus télépathiques que fabrique une Madame Mim de mauvais goût. C'est long, prétentieux, répétitif, ennuyeux, mal joué. Décidément, ce metteur en scène n'est pas ma tasse de thé (je n'avais pas aimé "Call me by your name" et était sorti pour "Challengers", je crois que je vais laisser tomber pour les prochains)....
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