Mohamed Bourouissa (Palais de Tokyo) °°
Enfermement des corps et des pensées, identité, contrôle du langage, les jardins, les plantes, la couleur... le plasticien nous mène dans beaucoup de directions, sans unités véritables mais on accroche à plein de propositions. J'ai été très sensible au court métrage d'un jeune couple arabe contrôlé par la police qui se passe en douceur mais qui trimbale un racisme ordinaire accablant. Pourquoi pas.
Trois autres expos: Dislocations, assez intéressante, les autres "Toucher l'insensé" , "Past disquiet" sont , pour moi, nulles.
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