Macbeth de Justin Kurzel (U.S) ° 1h53
Le symbole du mal sur scène, c'est Michael Fassbinder qui s'y colle. Il devient un héros romantique qu'accentuent les décors grandioses ou ridicules , c'est selon. On ne retrouve pas la bête qui agit sans réfléchir, qui veut absolument faire concorder les prophéties avec la réalité, vers une quête sanguinaire du pouvoir sans fin. Etrangement c'est Marion Cotillard, inspiratrice du crime, qui s'en sort grandie, elle est parfaite dans la hargne et dans le regret ( la douleur, on le savait déjà). A vos risques ....
Le symbole du mal sur scène, c'est Michael Fassbinder qui s'y colle. Il devient un héros romantique qu'accentuent les décors grandioses ou ridicules , c'est selon. On ne retrouve pas la bête qui agit sans réfléchir, qui veut absolument faire concorder les prophéties avec la réalité, vers une quête sanguinaire du pouvoir sans fin. Etrangement c'est Marion Cotillard, inspiratrice du crime, qui s'en sort grandie, elle est parfaite dans la hargne et dans le regret ( la douleur, on le savait déjà). A vos risques ....
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire