Christine Carrière balade sa caméra toujours dans le Nord de la France. Elle retrouve Mathilde Seigner pour le meilleur. Sa moue boudeuse convient parfaitement à cette mère qui ne sait pas aimer un enfant qui n'est pas aimable, mais s'il est aussi désagréable, il doit y avoir une raison. Les rapports que les personnages ont entre eux sont détestables, l'amant (Pierfrancesco Favino palot) la grand-mère, l'amie servent de puching ball. Ils ne savent pas se parler, ni s'écouter ou seulement par artifices. La mise en scène est assez sobre, quelque fois appuyée mais toujours juste. A voir.
jeudi 9 juillet 2015
Une mère
Christine Carrière balade sa caméra toujours dans le Nord de la France. Elle retrouve Mathilde Seigner pour le meilleur. Sa moue boudeuse convient parfaitement à cette mère qui ne sait pas aimer un enfant qui n'est pas aimable, mais s'il est aussi désagréable, il doit y avoir une raison. Les rapports que les personnages ont entre eux sont détestables, l'amant (Pierfrancesco Favino palot) la grand-mère, l'amie servent de puching ball. Ils ne savent pas se parler, ni s'écouter ou seulement par artifices. La mise en scène est assez sobre, quelque fois appuyée mais toujours juste. A voir.
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