Que viva Eisenstein ! de Peter Greenaway ( Mex/Fin/ Hol) °°°
Film pour public averti où l'on retrouve avec bonheur Le Peter Greenaway qu'on a tant aimé du temps du jardin anglais. Quel bonheur ! Eisenstein auteur du " Cuirassé Potemkine" part au Mexique pour y tourner " Que vive Mexico". Il y découvre le sexe et peut-être l'amour, en tout cas un sentiment de liberté et d'extase dans les bras de son guide mexicain. La mise en scène est extraordinaire: on a le sentiment d'un tourbillon qui ne s'achève jamais, se servant de tous les artifices possibles. L'action se passe principalement autour d'un grand lit où virevoltent les protagonistes, quelques servantes et deux fâcheux. Eisenstein, déjà traitre au yeux de Moscou, se lâche, profite de ce temps suspendu pour vivre quelques jours d'exaltation, filme pour filmer, parle pour s'étourdir, baise avec son amant autant pour son plaisir que provoquer le Monde. Parce que de ces amants là aux physiques ingrats il les transforme en êtres désirables, souvent nus, tout près de leur peau comme avec Erwan Mcgrgor dans "the pillow book" ( dernier grand film de Greenaway). A voir absolument en sachant bien ce qu'on va voir, certains spectateurs sont sortis à la première petite scène de cul, les pauvres....
Film pour public averti où l'on retrouve avec bonheur Le Peter Greenaway qu'on a tant aimé du temps du jardin anglais. Quel bonheur ! Eisenstein auteur du " Cuirassé Potemkine" part au Mexique pour y tourner " Que vive Mexico". Il y découvre le sexe et peut-être l'amour, en tout cas un sentiment de liberté et d'extase dans les bras de son guide mexicain. La mise en scène est extraordinaire: on a le sentiment d'un tourbillon qui ne s'achève jamais, se servant de tous les artifices possibles. L'action se passe principalement autour d'un grand lit où virevoltent les protagonistes, quelques servantes et deux fâcheux. Eisenstein, déjà traitre au yeux de Moscou, se lâche, profite de ce temps suspendu pour vivre quelques jours d'exaltation, filme pour filmer, parle pour s'étourdir, baise avec son amant autant pour son plaisir que provoquer le Monde. Parce que de ces amants là aux physiques ingrats il les transforme en êtres désirables, souvent nus, tout près de leur peau comme avec Erwan Mcgrgor dans "the pillow book" ( dernier grand film de Greenaway). A voir absolument en sachant bien ce qu'on va voir, certains spectateurs sont sortis à la première petite scène de cul, les pauvres....
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