Où l'on retrouve une douce musique, celle des Taviani. Si l'on suit ces cinq contes avec plaisir on est loin de l'univers de Pasolini qui suintait l'érotisme. Là tout est trop lisse, on aimerait un peu plus de méchanceté, de sexe, de bouffonneries, de vie en somme surtout quand la peste noire sévit et que les personnages décident de s'enfermer pour raconter des histoires. Non ce n'est pas académique seulement trop plat. Dommage. Revisitez le "Decameron" et les "mille et une nuits" de Pier Paolo.
mercredi 10 juin 2015
Contes italiens
Où l'on retrouve une douce musique, celle des Taviani. Si l'on suit ces cinq contes avec plaisir on est loin de l'univers de Pasolini qui suintait l'érotisme. Là tout est trop lisse, on aimerait un peu plus de méchanceté, de sexe, de bouffonneries, de vie en somme surtout quand la peste noire sévit et que les personnages décident de s'enfermer pour raconter des histoires. Non ce n'est pas académique seulement trop plat. Dommage. Revisitez le "Decameron" et les "mille et une nuits" de Pier Paolo.
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