Deux jours, une nuit de Jean-Pierre & Luc Dardenne ( Bel) °
Tant pis pour le politiquement correct, c'est délicat de donner une opinion mitigée quand on s'attaque à une bonne cause, mais bon. "Deux jours, une nuit" ou l'art de la répétition. En comédie, on rit pendant les trois premières avant qu'on ne trouve cela lourd, mais quand est-il pour la tragédie? Quatorze fois la même scène avec si peu de variantes. Je suis désolé ça lasse. Remarquez cela a facilité l'apprentissage du texte par Marion Cotillard, jeune femme sortant d'une dépression et qui va perdre son travail si elle n'arrive pas à convaincre ses collègues de revoter pour qu'elle reste dans la petite entreprise. Elle garde la même expression pendant tout le film, au bord des larmes, yeux bouffis et nous accorde deux sourires, un, au bout d'une heure de film et le deuxième à la fin pour une raison plus ou moins compréhensible. Je sais le sujet ne s'y prêtait pas mais quand même. Et puis j'ai ressenti une gène, pas pour le sujet très fort qu'on devait traiter, mais sur la forme: qui accepte de revoter et pourquoi. ( une dose subtile de belges pur jus et d'étrangers en faisant attention aux cotas). Si, j'ai adoré une scène, celle avec le footballeur au bord du stade. C'est la première fois chez ces cinéastes dont j'ai adoré tous les films sans exception que je sens le fabriqué. Dommage.
Tant pis pour le politiquement correct, c'est délicat de donner une opinion mitigée quand on s'attaque à une bonne cause, mais bon. "Deux jours, une nuit" ou l'art de la répétition. En comédie, on rit pendant les trois premières avant qu'on ne trouve cela lourd, mais quand est-il pour la tragédie? Quatorze fois la même scène avec si peu de variantes. Je suis désolé ça lasse. Remarquez cela a facilité l'apprentissage du texte par Marion Cotillard, jeune femme sortant d'une dépression et qui va perdre son travail si elle n'arrive pas à convaincre ses collègues de revoter pour qu'elle reste dans la petite entreprise. Elle garde la même expression pendant tout le film, au bord des larmes, yeux bouffis et nous accorde deux sourires, un, au bout d'une heure de film et le deuxième à la fin pour une raison plus ou moins compréhensible. Je sais le sujet ne s'y prêtait pas mais quand même. Et puis j'ai ressenti une gène, pas pour le sujet très fort qu'on devait traiter, mais sur la forme: qui accepte de revoter et pourquoi. ( une dose subtile de belges pur jus et d'étrangers en faisant attention aux cotas). Si, j'ai adoré une scène, celle avec le footballeur au bord du stade. C'est la première fois chez ces cinéastes dont j'ai adoré tous les films sans exception que je sens le fabriqué. Dommage.
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