Comme souvent, ces derniers temps au cinéma, le film devient intéressant à la presque toute fin, quand Hannah défend devant ses étudiants sa démarche, ses idées "des coupables non responsables" d'Eichmann et des autres monstres de la deuxième guerre mondiale, appliquant à la lettre les ordres des supérieurs, personne ne portant la responsabilité du crime lui-même. Par contre, si on ne connaît pas l'histoire de l'auteure "Des origines du totalitarisme "et de l'aura intellectuelle qu'elle représente à cette époque, ce que ne montre pas le film, on reste un peu en dehors, ne comprenant pas la "bombe" que dénonce le la "banalité du mal" et la passivité devant l'horreur. Les images d'archives , en noir et blanc, passionnantes en elles-mêmes, cassent le récit. Il y a trop de scènes en dehors du sujet, avec le mari, les amis, les flash-back avec Heidegger. Honnête.
mardi 30 avril 2013
Comme souvent, ces derniers temps au cinéma, le film devient intéressant à la presque toute fin, quand Hannah défend devant ses étudiants sa démarche, ses idées "des coupables non responsables" d'Eichmann et des autres monstres de la deuxième guerre mondiale, appliquant à la lettre les ordres des supérieurs, personne ne portant la responsabilité du crime lui-même. Par contre, si on ne connaît pas l'histoire de l'auteure "Des origines du totalitarisme "et de l'aura intellectuelle qu'elle représente à cette époque, ce que ne montre pas le film, on reste un peu en dehors, ne comprenant pas la "bombe" que dénonce le la "banalité du mal" et la passivité devant l'horreur. Les images d'archives , en noir et blanc, passionnantes en elles-mêmes, cassent le récit. Il y a trop de scènes en dehors du sujet, avec le mari, les amis, les flash-back avec Heidegger. Honnête.
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