The wale de Darren Aronofsky (U.S) ° 1 H 57
Brendan Fraser repart avec son oscar et c'est ma foi bien mérité (même si Austin Butler "Elvis" le méritait tout autant, voire plus, son jeu étant beaucoup étendu, mais bon..) il est dans ce rôle éléphantesque prodigieux et assez bouleversant. C'est le gros atout du film qui est aussi léger que son héros est énorme. Le reste est une autre histoire. Aronofsky fait des films lourdingue depuis le début ( à part "Requiem for a dream, que j'avais bien aimé) qui ne repose que sur du pathos, du préchi-précha religieux, du mélo larmoyant. ( Rappelez-vous: Noé, Mother, the wrestler, the foutain) Heureusement il y a le regard malicieux de ce professeur et surtout Hong Chau, infirmière dévouée, grande gueule, qui secoue tout ça . La fin est pathétique, mais notre côté voyeur malsain nous fait rester jusqu'au bout, vous verrez...
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