Vent chaud de Daniel Nolasco (Brésil) ° 1 h 50
Ce film m'a fait penser à une échappée des "village people" chez Tom de Finland. S'il visait Fassbinder, c'est raté . Il compense le manque de scénario par un esthétisme réussi, des ambiances stylisées aux couleurs primaires qui rappellent les années 70. Bien sûr ces fantasmes pornographiques peuvent réveiller le cochon qui dort en nous, mais que la chair est triste. Culotté ou plutôt déculotté...
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