Mon roi de Maïwenn (Fr) °°Tout d'abord on est séduit par le jeu tout à fait hallucinant de Vincent Cassel en coq paré de ses plus belles plumes fondant sur sa proie Emmanuelle Bercot qui n'a pas volé son prix d'interprétation à Cannes, aussi par les dialogues d'une justesse absolue dans une mise en scène un peu dispersée mais efficace et puis les répétitions des mêmes scènes fatiguent et finissent par agacer. On imagine le film sublime qu'aurait été Mon roi avec 45 mn en moins, resserré sur l'essentiel: la vampirisation du mâle pour le mal.
"Pourtant, chaque homme tue ce qu'il aime,
Par chacun que ceci soit entendu,
Certains le font avec un regard amer,
Certains avec un mot flatteur,
Le lâche le fait avec un baiser,
Le brave homme avec une épée! (....) O. Wilde.
A vous de voir....
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