Le banquet d'Auteuil de Jean-Marie Besset (XXème théâtre) °
La joliesse et la fraicheur incontestable de Félix Beaupérin ne fait pas tout, hélas, même si le jeune homme qui se donne à fond, sauve cette pièce assez bien écrite. Le problème est le jeu des autres comédiens ( pas tous) qui plombe le rythme. Le début est pesant Chapelle ( pas toujours juste) et Molière (terne) font une ouverture de spectacle d'un ennui sans nom et mettent le spectateur en dehors de l'action. Les autres, alors que certains même se mettent à nus, ne savent pas quoi faire de leur corps. Puis petit à petit, l'intérêt pointe, celui de l'auteur, de nous raconter les amours gays de Cyrano, Molière, Lulli. Ce n'est pas honteux mais pas indispensable non plus. Pour Félix peut-être.
La joliesse et la fraicheur incontestable de Félix Beaupérin ne fait pas tout, hélas, même si le jeune homme qui se donne à fond, sauve cette pièce assez bien écrite. Le problème est le jeu des autres comédiens ( pas tous) qui plombe le rythme. Le début est pesant Chapelle ( pas toujours juste) et Molière (terne) font une ouverture de spectacle d'un ennui sans nom et mettent le spectateur en dehors de l'action. Les autres, alors que certains même se mettent à nus, ne savent pas quoi faire de leur corps. Puis petit à petit, l'intérêt pointe, celui de l'auteur, de nous raconter les amours gays de Cyrano, Molière, Lulli. Ce n'est pas honteux mais pas indispensable non plus. Pour Félix peut-être.
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