Miss Hokusai de Keiichi Hara (Japon) °°
Un biopic animé qui raconte les relations passionnées entre deux grands peintres Hokusai et sa fille aussi douée que lui, peut-être même plus. On apprend qu'elle peignait admirablement les femmes et souvent remplaçait le maître, auteur des 36 vues du Mont-Fuji. On est à Edo l'ancienne Tokyo ( très joliment reconstituée dans un musée Tokyoïte) et le plus souvent sur le gigantesque pont rouge de la capitale. On découvre un père misanthrope, porté sur le saké, uniquement occupé par son travail, vivant seul loin de sa femme et de sa fille aveugle, dans un atelier sale et insalubre qu'il quitte quand il n'est plus praticable ! Ceci dit, la mise en scène est charmante sans grande inventivité. Il y avait matière entre les rêves de chacun, la possibilité de comique de l'élève gaffeur, les tableaux vivants qui hantent leur propriétaires. C'est cela tout est un petit peu trop timide. Un comble quand on connaît les tableaux du maître. Gentil.
Un biopic animé qui raconte les relations passionnées entre deux grands peintres Hokusai et sa fille aussi douée que lui, peut-être même plus. On apprend qu'elle peignait admirablement les femmes et souvent remplaçait le maître, auteur des 36 vues du Mont-Fuji. On est à Edo l'ancienne Tokyo ( très joliment reconstituée dans un musée Tokyoïte) et le plus souvent sur le gigantesque pont rouge de la capitale. On découvre un père misanthrope, porté sur le saké, uniquement occupé par son travail, vivant seul loin de sa femme et de sa fille aveugle, dans un atelier sale et insalubre qu'il quitte quand il n'est plus praticable ! Ceci dit, la mise en scène est charmante sans grande inventivité. Il y avait matière entre les rêves de chacun, la possibilité de comique de l'élève gaffeur, les tableaux vivants qui hantent leur propriétaires. C'est cela tout est un petit peu trop timide. Un comble quand on connaît les tableaux du maître. Gentil.
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