Un pigeon perché sur une branche philosophait sur l'existence de Roy Anderson ( Suède) ¤
On se souvient du magnifique "Chansons du deuxième étage", c'était une proposition de cinéma enthousiasmante et puis Roy Andersen nous offre ce pigeon indigeste. 39 plans fixes qui durent une plombe. Et de s'interroger sur le pourquoi du comment, c'est mauvais signe. Et puis notre esprit s'évade, pense au boulot, à la liste des commission. Les saynètes se suivent sans rapport entre elles, d'abord intriguent puis agacent. Il vient d'inventer l'ennui à répétition comme d'autres utilisent le comique. C'est le genre de film où chaque plan peut être une fin et elle ne vient jamais. C'est dur pour les nerfs . Bref à éviter .
On se souvient du magnifique "Chansons du deuxième étage", c'était une proposition de cinéma enthousiasmante et puis Roy Andersen nous offre ce pigeon indigeste. 39 plans fixes qui durent une plombe. Et de s'interroger sur le pourquoi du comment, c'est mauvais signe. Et puis notre esprit s'évade, pense au boulot, à la liste des commission. Les saynètes se suivent sans rapport entre elles, d'abord intriguent puis agacent. Il vient d'inventer l'ennui à répétition comme d'autres utilisent le comique. C'est le genre de film où chaque plan peut être une fin et elle ne vient jamais. C'est dur pour les nerfs . Bref à éviter .
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