Good kill d'Andrew Niccol (U.S) °
Ce film soulève la même problématique qu'"American Sniper" d'Eastwood et le même malaise se crée. Complaisance ou dénonciation? Contrairement au premier, dès le début, le héros déchu s'interroge mais cela ne l'empêche pas d'appuyer sur le bouton meurtrier, ceci étant l'ordre du supérieur, mais la préparation manichéenne de l'assassinat du violeur est un peu limite. A force de tuer par obligation, il s'octroie le droit de tuer par jugement personnel ! Seule la mise en scène, oppressante, qui se limite à visiter tour à tour la maison, souvent vue du ciel comme celles à éliminer et le container de lancement, avec les visages en gros plans reste passionnante. Je reste dubitatif.
Ce film soulève la même problématique qu'"American Sniper" d'Eastwood et le même malaise se crée. Complaisance ou dénonciation? Contrairement au premier, dès le début, le héros déchu s'interroge mais cela ne l'empêche pas d'appuyer sur le bouton meurtrier, ceci étant l'ordre du supérieur, mais la préparation manichéenne de l'assassinat du violeur est un peu limite. A force de tuer par obligation, il s'octroie le droit de tuer par jugement personnel ! Seule la mise en scène, oppressante, qui se limite à visiter tour à tour la maison, souvent vue du ciel comme celles à éliminer et le container de lancement, avec les visages en gros plans reste passionnante. Je reste dubitatif.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire