Un tango en bord de mer de Philippe Besson ( Théâtre 14) °°
mise en scène de Patrice Kerbrat
Des retrouvailles dans un hall d'hôtel. Un écrivain, la cinquantaine, croise son jeune ex-amant et l'invite à se retrouver le temps d'une nuit, à revivre leur histoire, peut-être à la comprendre. Ils n'avaient pas réussi ni à s'aimer ni à se désaimer. Les différences d'âge, de milieu, de vie peuvent-elles tout expliquer. Mais leur relation a fonctionné. L'écriture est très belle, littéraire mais parfaitement théâtrale. Jean-Pierre Bouvier brille par son interprétation, sa façon de dire "non" est tout à fait réjouissante, ses ruptures de ton, de rythme, formidables. En face, existe Frédéric Nyssen, avec un phrasé rapide qui se bouscule un peu mais qui crée une fragilité. C'est juste un moment, pas plus, assez joli, sans prétention. A voir.
mise en scène de Patrice Kerbrat
Des retrouvailles dans un hall d'hôtel. Un écrivain, la cinquantaine, croise son jeune ex-amant et l'invite à se retrouver le temps d'une nuit, à revivre leur histoire, peut-être à la comprendre. Ils n'avaient pas réussi ni à s'aimer ni à se désaimer. Les différences d'âge, de milieu, de vie peuvent-elles tout expliquer. Mais leur relation a fonctionné. L'écriture est très belle, littéraire mais parfaitement théâtrale. Jean-Pierre Bouvier brille par son interprétation, sa façon de dire "non" est tout à fait réjouissante, ses ruptures de ton, de rythme, formidables. En face, existe Frédéric Nyssen, avec un phrasé rapide qui se bouscule un peu mais qui crée une fragilité. C'est juste un moment, pas plus, assez joli, sans prétention. A voir.
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