L'homme qu'on aimait trop d'André Téchiné ( Fr) °°°
Téchiné est à l'aise avec toute forme de cinéma. Il s'empare de "l'affaire Leroux" pour y exercer sa fascination pour les personnages tourmentés. Il décortique les rapports du trio mère-fille-avocat. Une grande bourgeoise ( Deneuve, toujours parfaite) déjà à moitié engloutie dans les sables mouvants de son casino, sa fille ( Adèle Haenel, qui après "Suzanne" et avant les "Combattants" sera la future Sandrine Bonnaire du cinéma, elle est éblouissante) attirée irrésistiblement par Maurice (G. Canet , très bien) qui passe son temps à l'humilier sans prendre de gant . Pourtant même lui, on n'arrive pas à le juger vraiment. Attirée jusqu'à la mort. Mais quelle mort ? On ne retrouvera jamais le corps. Puis , le film accélère lors du procès avec les mêmes acteurs grimés, il a le mérite de conclure l'histoire, rapidement même si l'on préfère quand Téchiné nous parle sentiments.
Téchiné est à l'aise avec toute forme de cinéma. Il s'empare de "l'affaire Leroux" pour y exercer sa fascination pour les personnages tourmentés. Il décortique les rapports du trio mère-fille-avocat. Une grande bourgeoise ( Deneuve, toujours parfaite) déjà à moitié engloutie dans les sables mouvants de son casino, sa fille ( Adèle Haenel, qui après "Suzanne" et avant les "Combattants" sera la future Sandrine Bonnaire du cinéma, elle est éblouissante) attirée irrésistiblement par Maurice (G. Canet , très bien) qui passe son temps à l'humilier sans prendre de gant . Pourtant même lui, on n'arrive pas à le juger vraiment. Attirée jusqu'à la mort. Mais quelle mort ? On ne retrouvera jamais le corps. Puis , le film accélère lors du procès avec les mêmes acteurs grimés, il a le mérite de conclure l'histoire, rapidement même si l'on préfère quand Téchiné nous parle sentiments.
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