Bird people de Pascale Ferran ( Fr) °°
Depuis " l'âge des possibles" je suis avec ferveur tous les films de Pascale Ferran. Je me rappelle le choc de ce soi-disant téléfilm, je l'ai regardé peut-être trois ou quatre fois de suite. Et la sortie de ce nouveau film est encore l'occasion d'en reparler. Ici, elle nous surprend encore. On est dans un aéroport, entre échangeurs, pistes d'envols, lumières feutrées. Et on entend des pensées, des paroles, des chansons, celles des voyageurs des transports de RER ou des piétons, comme s'ils nous parlaient: c'est magique, en réponse aux " Ailes du désirs" de Wenders et puis on fait la connaissance de Gary burn outé, qui va péter les plombs et d'Audrey une femme de ménage, étudiante qui va faire de même à sa façon. Drôle, poétique et décalé. Tout cela fonctionne à merveille jusqu'à un moment, on ne sait, où il quelque chose se grippe. C'est imperceptible mais cela est. Il faut se laisser emporter.
Depuis " l'âge des possibles" je suis avec ferveur tous les films de Pascale Ferran. Je me rappelle le choc de ce soi-disant téléfilm, je l'ai regardé peut-être trois ou quatre fois de suite. Et la sortie de ce nouveau film est encore l'occasion d'en reparler. Ici, elle nous surprend encore. On est dans un aéroport, entre échangeurs, pistes d'envols, lumières feutrées. Et on entend des pensées, des paroles, des chansons, celles des voyageurs des transports de RER ou des piétons, comme s'ils nous parlaient: c'est magique, en réponse aux " Ailes du désirs" de Wenders et puis on fait la connaissance de Gary burn outé, qui va péter les plombs et d'Audrey une femme de ménage, étudiante qui va faire de même à sa façon. Drôle, poétique et décalé. Tout cela fonctionne à merveille jusqu'à un moment, on ne sait, où il quelque chose se grippe. C'est imperceptible mais cela est. Il faut se laisser emporter.
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