Avec cette histoire plus qu'alambiquée, Peter Greenaway s'essaie de nouveau à mêler l'art, la sensualité, le sexe, les vices de ses contemporains . Je n'ai pas tout bien compris, comme on dit, mais pour créer une imprimerie spécialisée dans l'érotisme, un metteur en scène avec sa troupe, va jouer devant un mécène six tableaux de la bible. La chair s'étale, les corps sont nus, se mêlent récits, tortures et jeux jusqu'à l'épuisement du spectateur. Les tableaux sont souvent magnifiques, rappellent Fellini ou Pasolini dans certains de ses films, mais l'émotion n'est pas là: trop de personnages fait qu'au final, on se s'intéresse à aucun.
mardi 18 février 2014
Goltzius
Avec cette histoire plus qu'alambiquée, Peter Greenaway s'essaie de nouveau à mêler l'art, la sensualité, le sexe, les vices de ses contemporains . Je n'ai pas tout bien compris, comme on dit, mais pour créer une imprimerie spécialisée dans l'érotisme, un metteur en scène avec sa troupe, va jouer devant un mécène six tableaux de la bible. La chair s'étale, les corps sont nus, se mêlent récits, tortures et jeux jusqu'à l'épuisement du spectateur. Les tableaux sont souvent magnifiques, rappellent Fellini ou Pasolini dans certains de ses films, mais l'émotion n'est pas là: trop de personnages fait qu'au final, on se s'intéresse à aucun.
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire