Le géant égoïste de Clio Barnard ( G.B)°°
Bien sûr on retrouve la Ken Loach's touch, on pense à Kes, mais la comparaison s'arrête là. Même si les jeunes acteurs sont formidables trop, c'est trop. Rien, ni personne, apporte "un je ne sais quoi d'humanité": tout le monde est moche, triste, méchant, déprimé, voleur, drogué. Stop. On sait que la vie des banlieues anglaises est difficile mais il nous faut pour compatir, un peu de respiration. Les familles ont démissionné, l'école a abdiqué, les adultes deviennent des esclavagistes et les flics se déchaussent devant un gamin de dix ans!, au secours. On sait que tout cela va mal finir, le malaise est présent tout le long du film et c'est en cela qu'il reste quand même intéressant, à l'image des canassons: à chaque fois qu'ils apparaissent, on a peur pour eux, persuadé qu'il va leur arriver malheur. Je ne suis pas tout à fait convaincu, à vous de voir.
Bien sûr on retrouve la Ken Loach's touch, on pense à Kes, mais la comparaison s'arrête là. Même si les jeunes acteurs sont formidables trop, c'est trop. Rien, ni personne, apporte "un je ne sais quoi d'humanité": tout le monde est moche, triste, méchant, déprimé, voleur, drogué. Stop. On sait que la vie des banlieues anglaises est difficile mais il nous faut pour compatir, un peu de respiration. Les familles ont démissionné, l'école a abdiqué, les adultes deviennent des esclavagistes et les flics se déchaussent devant un gamin de dix ans!, au secours. On sait que tout cela va mal finir, le malaise est présent tout le long du film et c'est en cela qu'il reste quand même intéressant, à l'image des canassons: à chaque fois qu'ils apparaissent, on a peur pour eux, persuadé qu'il va leur arriver malheur. Je ne suis pas tout à fait convaincu, à vous de voir.
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