Elle s'en va d'Emmanuelle Bercot ( Fr) °°°
Enfin une vraie comédie, hilarante, absolument ! Deneuve la magnifique, pète les plombs, après une rupture et part sans le préméditer vraiment, avec peu d'argent en poche à la recherche d'une cigarette. La cigarette sera le leitmotiv de ce road movie et le sujet de scènes d'anthologies : le petit vieux qui roule son clope avec des doigts perclus d'arthrite - j'ai ri à en avoir mal au ventre- sous le regard attendri et pressant de Bettie, la soirée en boîte où s'affrontent des femmes lanceuses de fléchettes amatrices de bière et surtout le passage absolument incroyable de drague par un jeune homme ami d'un imitateur de cris de sangliers. Paul Hamy génial, en deux scènes il fait tout passer.
Qu'on ne me raconte plus que Deneuve est froide et ... bla, bla, bla , qui aurait pu, sans être ridicule se retrouver à son âge dans un lit avec ce petit gars, partager avec un vigil nommé Casimir, qui ne comprend pas tout, sa vie compliquée . Puis il y a la rencontre avec son petit fils, sa fille ( Camille), sa mère ( Claude Gensac). C'est le pendant drôlissime de "T'es heureuse, moi toujours" de Jean Marboeuf où brillait Dominique Labourier. A voir sans faute.
Paul Hamy , génial.
Enfin une vraie comédie, hilarante, absolument ! Deneuve la magnifique, pète les plombs, après une rupture et part sans le préméditer vraiment, avec peu d'argent en poche à la recherche d'une cigarette. La cigarette sera le leitmotiv de ce road movie et le sujet de scènes d'anthologies : le petit vieux qui roule son clope avec des doigts perclus d'arthrite - j'ai ri à en avoir mal au ventre- sous le regard attendri et pressant de Bettie, la soirée en boîte où s'affrontent des femmes lanceuses de fléchettes amatrices de bière et surtout le passage absolument incroyable de drague par un jeune homme ami d'un imitateur de cris de sangliers. Paul Hamy génial, en deux scènes il fait tout passer.
Qu'on ne me raconte plus que Deneuve est froide et ... bla, bla, bla , qui aurait pu, sans être ridicule se retrouver à son âge dans un lit avec ce petit gars, partager avec un vigil nommé Casimir, qui ne comprend pas tout, sa vie compliquée . Puis il y a la rencontre avec son petit fils, sa fille ( Camille), sa mère ( Claude Gensac). C'est le pendant drôlissime de "T'es heureuse, moi toujours" de Jean Marboeuf où brillait Dominique Labourier. A voir sans faute.
Paul Hamy , génial.
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