Brothers of the night de Patric Chiha (FR/Aut) ° 1 h27
Dès la la première scène de ce docu-fiction on sait qu'on court à la catastrophe. Bien sûr ces gosses sont perdus. Ils sont partis de Bulgarie où souvent ils ont laissé femme et enfants, parce qu'ils se sont mariés à 16 ans pour se prostituer à Vienne au Rüdiger bar. Ils ont toute notre compassion. Mais leur misère intellectuelle, leur vie horrible ne font pas, dans ce cas précis un film. On ne sait presque rien d'eux et le peu qu'ils nous livrent est exactement ce qu'on attend. Les dialogues restent cantonnés à t'as pris 50 €, non 100. Ah bon, moi une fois j'ai eu 1075 € Et ce texte tourne en boucle. Ils n'ont rien à dire alors que leur vies devraient être émouvantes. On imagine qu'ils n'aiment plus leur femme, qu'ils se foutent de leur mômes et peut-être qu'ils sont gays en se l'avouant pas. Les rapports entre ne sont pas très sympas non plus, aucune entraide, rien le vide. Le tout dans une lumière bleue-rouge très esthétisante. Je cherche encore l’intérêt de ce film.
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