Parfois l'artiste confond peinture et cinéma, souvent pour le meilleur "Barry Lyndon" de Kubrick ou "les moissons du ciel" de Malik mais aussi vainement comme ici. Pourquoi tant de beautés, de paysages somptueux, de décors à couper le souffle, de scènes d'intérieur aux lumières feutrées pour rien. Aucun soupçon d'histoire ou juste une trame qui se résume en une phrase. Pourtant le prologue en noir et blanc promettait beaucoup. Tout s'arrête d'un coup sans raison, comme les combats souvent inachevés; Bref une énigme. Jugez vous même de la chose.
dimanche 13 mars 2016
The assassin
Parfois l'artiste confond peinture et cinéma, souvent pour le meilleur "Barry Lyndon" de Kubrick ou "les moissons du ciel" de Malik mais aussi vainement comme ici. Pourquoi tant de beautés, de paysages somptueux, de décors à couper le souffle, de scènes d'intérieur aux lumières feutrées pour rien. Aucun soupçon d'histoire ou juste une trame qui se résume en une phrase. Pourtant le prologue en noir et blanc promettait beaucoup. Tout s'arrête d'un coup sans raison, comme les combats souvent inachevés; Bref une énigme. Jugez vous même de la chose.
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