Diaz, un crime d'état de Daniele Vicari ( I) °°°
Incroyable, on se pince ! On n'arrive pas à imaginer que de tels actes aient pu être possibles. En 2001, en Italie ! Le générique de fin nous laisse suggérer qu'il n'y aura pas de procès ! Ce film est donc un témoignage indispensable pour que perdure la mémoire de ce vrai crime d'état. Juste à la fin du G8 à Gênes pour répondre à une fausse agression d'altermondialiste, la police prend d'assaut un dortoir occupé par trois centaines de personnes et matraque systématiquement toutes les personnes présentes , en enferme d'autres, continue de se déchaîner alternant sévices et humiliations. C'est fort, intense à la limite du supportable. Vicari réussit en suivant, dans cette nuit d'horreur, quelques acteurs du drame, à nous faire ressentir la peur et surtout les mécanismes d'un début de fascisme . Et les italiens continuent à voter pour Berlusconi ....
Incroyable, on se pince ! On n'arrive pas à imaginer que de tels actes aient pu être possibles. En 2001, en Italie ! Le générique de fin nous laisse suggérer qu'il n'y aura pas de procès ! Ce film est donc un témoignage indispensable pour que perdure la mémoire de ce vrai crime d'état. Juste à la fin du G8 à Gênes pour répondre à une fausse agression d'altermondialiste, la police prend d'assaut un dortoir occupé par trois centaines de personnes et matraque systématiquement toutes les personnes présentes , en enferme d'autres, continue de se déchaîner alternant sévices et humiliations. C'est fort, intense à la limite du supportable. Vicari réussit en suivant, dans cette nuit d'horreur, quelques acteurs du drame, à nous faire ressentir la peur et surtout les mécanismes d'un début de fascisme . Et les italiens continuent à voter pour Berlusconi ....
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