La Grande Bellaza de Paolo Sorrentino ( Italie) °°°
Le début du film est éblouissant. Vraiment incroyable. J'avais les yeux rivés à l'écran devant une telle virtuosité. Une fête, immense, des êtres qui dansent dans une trance bizarre une sorte de Madison obsessionnel mais où l'on devine la vacuité, le sexe triste, le rire douloureux, tout le vide abyssal de ces romains qui se détruisent dans l'alcool, la drogue etc... C'est géant; tout le contraire du "Gasby" où la fête ne traduisait rien. Après Toni Servillo, "sublime Jep" acteur de cette vie dissolue, ancien écrivain en panne, erre dans la ville, rencontre d'anciens amis véreux, doute, revisite le passé avec ses bons et ses mauvais moments jusqu'à... on se sait pas trop. Tout est parfait jusqu'à l'arrivée de Ste Maria où là le film traîne un peu en longueur, mais bon, c'est tellement " Fellinien" qu'on reste sous le charme.
Le début du film est éblouissant. Vraiment incroyable. J'avais les yeux rivés à l'écran devant une telle virtuosité. Une fête, immense, des êtres qui dansent dans une trance bizarre une sorte de Madison obsessionnel mais où l'on devine la vacuité, le sexe triste, le rire douloureux, tout le vide abyssal de ces romains qui se détruisent dans l'alcool, la drogue etc... C'est géant; tout le contraire du "Gasby" où la fête ne traduisait rien. Après Toni Servillo, "sublime Jep" acteur de cette vie dissolue, ancien écrivain en panne, erre dans la ville, rencontre d'anciens amis véreux, doute, revisite le passé avec ses bons et ses mauvais moments jusqu'à... on se sait pas trop. Tout est parfait jusqu'à l'arrivée de Ste Maria où là le film traîne un peu en longueur, mais bon, c'est tellement " Fellinien" qu'on reste sous le charme.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire