Flight de Robert Zemeckis (U.S) °
Un joli début où l'on suit Denzel Washington sortir des brumes d'une nuit plus qu'agitée, sauver 102 passagers lors d'un atterrisage incroyable alors qu'il est bien torché et cocaïné. Puis le film ressemble à un très très long sermon contre l'alcool, le mensonge et tout ce qui effraie l'Amérique. C'est assez insupportable et invraissemblable. Kelly Reilly symbolise cette cucuterie, un jour accro, la seringue dans le bras , le lendemain clean donnant des leçons de morale. L'attente du procès dans la chambre d'hôtel est une caricature de mauvais scénario. Restent quelques répliques d'un cancereux assez drôles dans un escalier d'hôpital et le choix de ne pas valoriser un soi-disant héros. Mais alors le final en prison : au secours ! Il y a plus d'une heure en trop.
Un joli début où l'on suit Denzel Washington sortir des brumes d'une nuit plus qu'agitée, sauver 102 passagers lors d'un atterrisage incroyable alors qu'il est bien torché et cocaïné. Puis le film ressemble à un très très long sermon contre l'alcool, le mensonge et tout ce qui effraie l'Amérique. C'est assez insupportable et invraissemblable. Kelly Reilly symbolise cette cucuterie, un jour accro, la seringue dans le bras , le lendemain clean donnant des leçons de morale. L'attente du procès dans la chambre d'hôtel est une caricature de mauvais scénario. Restent quelques répliques d'un cancereux assez drôles dans un escalier d'hôpital et le choix de ne pas valoriser un soi-disant héros. Mais alors le final en prison : au secours ! Il y a plus d'une heure en trop.
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