Après un début assez réussi, le film tourne assez vite à la mascarade, à l'image d'Emmanuelle Seigner tantôt assez convaincante, tantôt grotesque dans sa vulgarité voulue. Cette pièce de théâtre pas terrible proposait des sujets qui ne pouvaient qu'intéresser Polanski mais ce retournement prévisible est mal amené. Mathieu Amalric, touchant en sosie du maître Roman, vire lui aussi, à cause des mots, vers le pantin ridicule. Pas irregardable mais décevant.
mercredi 20 novembre 2013
La vénus à la fourrure
Après un début assez réussi, le film tourne assez vite à la mascarade, à l'image d'Emmanuelle Seigner tantôt assez convaincante, tantôt grotesque dans sa vulgarité voulue. Cette pièce de théâtre pas terrible proposait des sujets qui ne pouvaient qu'intéresser Polanski mais ce retournement prévisible est mal amené. Mathieu Amalric, touchant en sosie du maître Roman, vire lui aussi, à cause des mots, vers le pantin ridicule. Pas irregardable mais décevant.
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